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Les infirmières libérales se mobilisent à nouveau ce jeudi 16 mai dans plusieurs villes de France, pour alerter sur leurs conditions de travail, obtenir plus de reconnaissance et des tarifs revalorisés. «Libération» a suivi l’une d’elles pendant sa tournée, à Poissy.
Dans un rapport sur l’organisation des soins de premier recours, dévoilé le 13 mai, la juridiction livre son diagnostic de deux décennies d’actions « dispersées ». Et n’exclut pas une forme de « conventionnement sélectif » de l’exercice médical.
TRIBUNE. A l’approche de la clôture de la négociation de la convention médicale, le 16 mai, les économistes Nicolas Jacquemet et Anne-Laure Samson proposent de moduler, comme au Québec, les tarifs des actes médicaux en fonction de la densité des praticiens
Christian Lehmann est médecin et écrivain. Pour «Libération», il tient la chronique d’une société marquée par la crise du système de santé. Il dénonce les politiques comptables et les coups portés à la médecine générale.
Dans le cadre d’un job dating organisé par l’Établissement public de gérontologie de Tournan-en-Brie et France Travail, la ministre de la Santé, Catherine Vautrin, s’est entretenue avec le personnel. L’enjeu ? Être fin prêt pour le vieillissement de la population.
TRIBUNE. Alors que le gouvernement est à la recherche de 30 milliards d’économies, Camille Mosse, analyste du marché de la santé, préconise dans une tribune au « Monde » une solution négociée entre les organismes de santé publique et privée pour la prise en charge des affections de longue durée (ALD).
Dans une étude publiée ce mardi 23 avril, la première plateforme de prise de rendez-vous souligne la plus grande accessibilité des médecins généralistes, quand il faut des délais parfois fort longs pour les spécialistes. Elle note que la téléconsultation diminue le temps d’attente.
Les groupes financiers ont bénéficié du désengagement de l’Etat dans les besoins de santé pour s’engouffrer dans le secteur, explique l’économiste Nicolas Da Silva dans un entretien au « Monde ». Au risque d’imposer leurs normes.
Pour l’exécutif, la pénalité de 5 euros par rendez-vous non honoré devrait être retenue grâce à l’empreinte de carte bancaire prise par les plates-formes. Une solution à laquelle s’oppose le président-directeur général de Doctolib.
RECIT - Le 6 avril dernier, un brancardier a été passé à tabac par une personne exaspérée par l'attente aux urgences. Un drame qui met la lumière sur des conditions de travail de plus en plus dégradées dans ces services hospitaliers.
Cette sanction, qui ne serait pas automatique, doit permettre de récupérer 15 à 20 millions de créneaux médicaux.
Afin de dénoncer de nouveaux tarifs 2024 qui les « mettent en péril », les hôpitaux et cliniques privés sont appelés à une « grève totale » à compter du 3 juin, a déclaré mercredi 3 avril la Fédération de l’hospitalisation privée, qui regroupe ces établissements.
FIGAROVOX/TRIBUNE - À l’initiative du député LR Yannick Neuder, près de 160 parlementaires poussent un cri d’alarme face à la dégradation des politiques publiques en matière de soins. Et ils pointent du doigt la rupture de confiance entre les personnels soignants et le gouvernement.
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Dans un ouvrage qui paraît mercredi 15 mai, les professeurs François Bourdillon et André Grimaldi suggèrent des réponses pragmatiques aux failles de notre système de santé. Et en particulier à la question de la qualité des soins.
Pénurie de soignants, hausse des franchises et des distances… Depuis le 1er avril, les malades doivent mettre 4 euros de leur poche par trajet. Une volonté du gouvernement de les «responsabiliser» et de maîtriser les dépenses de santé. Mais dans le département ligérien comme dans d’autres, plus l’offre de soins se fait rare, plus les besoins de transport augmentent.
La Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil) a estimé jeudi 2 mai dans une recommandation qu’un dispositif de vidéosurveillance pouvait être installé dans une chambre d’Ehpad en cas de « suspicion étayée de mauvais traitements ». Des demandes avaient été formulées aprè
EXCLUSIF. En vue des Assises de la pédiatrie et de la santé de l’enfant qui se tiendront le 24 mai, après avoir été reportées à plusieurs reprises à cause des remaniements successifs, les professionnels de santé nous dévoilent les grandes propositions qu’ils ont faites a
DescriptLa pratique d’actes esthétiques, très lucratifs, accapare les agendas des dermatologues, alors qu’on ne compte plus que 2 800 libéraux en France. Une tendance qui détériore l’accès aux soins primaires.ion vide
Cécile Monnier et Amandine Bartolo sont infirmières libérales à Puimoisson, dans les Alpes-de-Haute-Provence. Elles expérimentent des mallettes de télémédecine qui permettent d’éviter les déplacements « inutiles » du Samu. Un dispositif onéreux et rare qui peine à être pérennisé, tandis que les deux femmes affrontent des journées particulièrement éprouvantes dans ce désert médical.
Après le doublement de la franchise sur les boîtes de médicaments, le reste à charge pour les patients va passer à deux euros. Annoncée initialement pour le 1er juin, elle a été avancée de 15 jours.
Infirmière, sage-femme ou interne, elles témoignent auprès du Parisien du harcèlement et des agressions sexuels qu’elles ont subi en milieu hospitalier, souvent sans que la direction n’agisse, malgré les alertes.
L’expérimentation d’un « accès direct » aux spécialistes, annoncée le 6 avril par le premier ministre, Gabriel Attal, a fini de braquer la profession. Des négociations cruciales avec l’Assurance-maladie sont à l’arrêt.
Enseignée en cours de cursus ou en formation continue, la simulation en santé reproduit des situations de soins avec des comédiens. Cette technique pédagogique permet aux soignants et futurs soignants d’améliorer leurs pratiques et de réinterroger leurs principes éthiques. La Croix a p
Des délais d’un an pour consulter un spécialiste, de plusieurs mois pour une IRM ou une échographie, obligent ces nouveaux nomades à prendre rendez-vous à des heures de route de chez eux.
Après deux mois de suspension, les accouchements ont repris mardi 2 avril à la maternité de Lunéville. Une issue rare qui a été permise grâce à une mobilisation des élus, de la direction de l’hôpital et des soignants.
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