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Un potager sur un toit de grands magasins à Paris, une ferme dans un ancien parking, une bière au goût de houblon parisien: les agricultures urbaines ne cessent de s'étendre à Paris, avec 20 hectares et 285 tonnes de fruits, légumes et aromates par an. Visite chez trois "pariculteurs" primés par la ville de Paris. Publié le 17.03.2019
Pause cueillette. Yann Bonnet et Antoine Giraud sont analystes dans un établissement financiers, mais aussi amateurs de bons légumes. Pour quatre euros par mois, et comme une centaine de leurs collègues, ils se sont abonnés à une parcelle de potager située sur le toit de la banque qui les emploie à Issy-les-Moulineaux. Par ML et NB, 11/08/2018
Il existe mille alternatives à l’agriculture conventionnelle. Et toutes sont plus créatives les unes que les autres. Un exemple : l’aquaponie. En associant la pisciculture au maraichage, ce système écologique permet de créer des petites fermes très performantes en pleine ville. La prochaine voit d’ailleurs le jour à Reims, dans un foyer d’hébergement d’urgence. Présentations. Citizen Farm : 800kg de légumes et 400 poissons par an... sur 15m2 ! Par Axel Leclercq. PositivR, 23.11.2016 "Toits Solid’Air est un foyer de Reims géré par l’Armée du Salut. C’est ici que Citizen Farm et le bailleur Plurial Novillia, en partenariat avec Action Logement, ont décidé d’implanter la première ferme urbaine du Grand Est." (...)
En partenariat avec la start-up Macadam Gardens, la clinique a créé un jardin potager de 500 m² sur son toit. Livré clé en main, ce jardin sera progressivement géré par le personnel, les patients, tout particulièrement ceux souffrant de maladies chroniques, des anciens salariés de la clinique et des travailleurs handicapés de l’établissement et du service d’aide par le travail (ESAT) de Nailloux. Cet établissement fournit déjà les légumes bio pour les 300.000 repas servis chaque année. Quand les hôpitaux produisent leurs fruits et légumes. Par Camille Tourneboeuf, ConsoGlobe, 27.08.2016 |Image] Depuis plusieurs années, la Clinique Pasteur de Toulouse a installé un potager sur son toit. Côté Toulouse, 16.06.2016 http://actu.cotetoulouse.fr/visitez-potager-toit-clinique-pasteur-toulouse-jeudi-23-juin_38817/
BALADE - Oubliez les préjugés de couches de bitume à perte de vue. Les espaces verts pullulent et serpentent entre les dalles de béton, là où on ne les attend pas. Car, oui, la capitale se teinte de vert pour qui sait regarder. Le jardin sur le toit. (Association Lafayette.) Après une
"« Nos potagers sur les toits montrent qu'il est tout à fait possible de cultiver en ville en réutilisant des déchets organiques urbains et en recréant des sols fonctionnels. Nous réalisons aussi des études sur le transfert des polluants dans les plantes, mais pour le moment, nos résultats montrent que les taux sont bien inférieurs aux normes. »
Une trame verte aérienne
« De toute façon, l'objectif n'est pas la production alimentaire. Il faut voir ces potagers comme des espaces multifonctionnels, pédagogiques, permettant aux citadins de prendre conscience des enjeux agro-alimentaires, des saisons, de l'importance de la biodiversité... de créer de nouveaux usages pour les toitures qui deviennent enfin vivantes ! »" Quelle biodiversité sur les toits végétalisés ? Par Lisa Garnier, Vigie Nature, 02.05.2016 [Image] Potager sur le toit d’AgroParisTech (Topager) http://topager.com/portfolio-item/potager-sur-le-toit-d-agroparistech/
Courrier des maires. « Paris 20e : le jardin en l'air et solidaire achève son insertion »
« Installé sur le toit d'un gymnase, géré par une association d'insertion sociale avec l'aide des Parcs et jardins de la capitale, ce potager de 600 mètres carrés innove et surprend. Mais trouve sa place, tant auprès des habitants que dans… la réglementation. »
Par Elisabeth Pélegrin-Genel. Le Huffington Post. « L'agriculture urbaine a d'abord fait sourire, voire ricaner, mais c'était du temps où les fraises arrivaient directement par avion et se mangeaient en hiver, sans état d'âme. Depuis quelques années, des étudiants ou des illuminés dessinent des projets utopiques de fermes urbaines. Ils imaginent des tours futuristes avec parfois des plateaux qui tournent sur eux mêmes pour suivre la course du soleil, avec des étages de culture et d'autres d'élevage (de petits animaux, tout de même, juste des poulets ou des lapins). Ils ont peut-être simplement une longueur d'avance. »
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« Les parcs et jardins ont toujours fait partie de la ville, et le potager ou la campagne n'était jamais loin. Aujourd'hui c'est différent. Les habitants regroupés en associations s'opposent souvent à des projets de construction et réclament à la place des espaces verts pour respirer. Mais leur regard change : ils apprécient de plus en plus des jardins plus familiers et familiaux avec des potagers collectifs. Après les maraîchers, toujours menacés, qui développent des circuits courts de distribution (les amap, association pour le maintien d'une agriculture paysanne) en initiant cette fameuse relation directe avec le client, qui est bien dans l'air du temps, on envisage un avenir encore plus local et des pratiques de consommation plus participatives. Avoir le plaisir de consommer des carottes qui proviennent du toit d'à côté mais aussi, pourquoi pas, apprendre à les cultiver et pouvoir montrer à ces enfants que les poireaux ne poussent pas au supermarché mais juste au dessus sur le toit. »
Via Romain CHARRIERE
Le Fife. « Les jardins comme espaces de biodiversité en Île-de-France, ou comment le besoin de nature se transforme en politique environnementale. » Ceci est le débat animé par Bettina Laville le vendredi 7 février à 17h30. « Jardins solidaires, agriculture sur les toits, murs végétalisés, programmes en faveur de la biodiversité : la nature s’immisce de plus en plus en ville et sa préservation s’est considérablement accrue ces dernières années. En la matière, le parc naturel de la Haute Vallée de Chevreuse (Yvelines) montre l’exemple en étant l’un des porte-étendards de l’habitat durable et en sensibilisant les professionnels et le public à l’architecture écologique. A Paris, on voit l’agriculture se hisser sur les toits tandis que les jardins partagés, que l’on croyait définitivement disparus en raison de la pression foncière, retrouvent des couleurs. Autant de pratiques qui seront mises en avant lors de la conférence-débat « Jardins et biodiversité » vendredi 7 février à 17h30. » Avec : Gilles Clément et Pascal Cribier, paysagistes ...
Des cultures et des villes offre une présentation en vidéo de différents projets d'agriculture urbaine : potager sur les toits, élevage, fermes verticales.
Des cultures et des villes par AgroParisTech
L’agriculture urbaine se développe. Faire pousser en ville de quoi se nourrir ne se réduit pas aux seuls potagers. Le documentaire Des cultures et des villes de Jean-Hugues Berrou pour l’école AgroParisTech montre différentes expériences conduites dans le monde : des jardins potagers en ville, des containers pour faire pousser des champignons, des projets de fermes verticales ou encore des défenseurs du pâturage des moutons en ville…
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On grimpe à 25 mètres au dessus du bitume parisien pour découvrir les travaux de recherche sur les toits potagers. Lancé en 2012, le projet de recherche T4P (pour « Toit parisien productif projet pilote ») vise à tester la faisabilité de culture maraîchère citadine en toiture, en respectant trois contraintes : utiliser en tant que sol uniquement des résidus issus du milieu urbain ; ne pas utiliser de fertilisant organique ou minéral ; répondre au cahier des charges d’une agriculture biologique. De premiers résultats, publiés en décembre 2017 dans la revue Agronomy for Sustainable Development, tirent un bilan positif pour ce dispositif de toit potager en ville. Ce projet se déroule sur la toiture de l’école d’ingénieur AgroParisTech, dans le Ve arrondissement de Paris. Il a été mené par une équipe de recherche AgroParisTech-INRA et a notamment donné lieu à la thèse de Baptiste Grard présentée au travers de cette bande dessinée. Bonne visite ! BD : Dessin et couleurs : Mathieu Ughetti
Via Agrodoc Ouest
Tandis que les Fermes Lufa livrent chaque semaine plus de 10 000 paniers de légumes frais, AU/LAB a le projet de planter des ceps sur le toit du Palais des congrès de la ville québécoise. Publié le 29.03.2018 (accès limité)
L’appel à projets des Parisculteurs s’appuie sur les principes de la permaculture. L’objectif est de reverdir la capitale et de développer l’agriculture urbaine, à l’image d’autres villes comme Londres, New York ou encore Detroit. Bouygues Immobilier. Demain La Ville, 30.08.2016 "... Murs, pleine terre, toit-terrasse ou souterrain, près de 1 200 personnes ont pu visiter en mai dernier les 47 sites retenus. Parmi eux, la médiathèque Françoise Sagan (10è), l’Opéra Bastille et les réservoirs de Belleville et de Charonne ont accueilli le plus grand nombre de visiteurs. Rétention des eaux pluviales, régulation de la température ambiante ou amélioration de la qualité de l’air sont autant de solutions concrètes apportées par la végétalisation." (...)
Alexandre Belin et Cédric Jules, deux jeunes entrepreneurs toulousains, sont à l’origine du programme Macadam Gardens. Ils proposent d’encourager et accompagner des entreprises dans la création de jardins partagés, notamment sur leur toit. À l’origine, leur vocation première était le maraîchage biologique. Par la suite, ils ont décidé de développer leurs activités et de partager leurs savoirs avec ceux qui sont attirés par l’agriculture urbaine.
La municipalité a lancé un appel à projets pour végétaliser ou cultiver des parcelles urbaines. Une serre sur un toit de 1 500 m2 ouvrira d’ores et déjà ses portes début 2017 dans le 12e arrondissement. Par Laetitia Van Eeckhout. Le Monde, 17.05.2016 " Produire en grande quantité, en pleine ville, avec peu d’énergie, dans un espace contraint et dans un esprit de développement durable : Lyon comme Paris s’apprêtent à accueillir de vraies fermes urbaines à vocation commerciale.
A Lyon, l’équipe d’ingénieurs, urbanistes et architectes de la Ferme urbaine lyonnaise (FUL) travaille depuis deux ans à un projet de ferme verticale abritant une production hors sol de salades, répartie en plateaux techniques superposés. Encore au stade du prototype, ce projet doit prochainement être testé dans un site pilote sur le campus de l’Institut national des sciences appliquées (INSA) de Lyon pour affiner les solutions innovantes de production imaginées par ses créateurs. A Paris, ayant passé ce stade, la start-up Toit tout vert est, elle, en train de mettre la toute dernière main à son projet de ferme urbaine, sous serre et sur un toit." (...)
Des poireaux sur les toits, de la vigne le long des murs : la mairie de Paris ambitionne de végétaliser 100 hectares de bâti à l’horizon 2020 dont un tiers dédié à l’agriculture. c’est 10 fois plus qu’aujourd’hui. Pour relever ce défi elle s’appuie sur un réseau de partenaires publics et privés, dont la RATP. Rencontre avec Pénélope Komitès, adjointe au maire de paris en charge des espaces verts. RATP DEV, 26.01.2016
Samedi 12 avril, en compagnie de Florence de Massol, première adjointe à la Maire du 20e, j’ai assisté et participé à l’installation par des habitants du quartier et des membres de l’association Veni Verdi d’un potager sur le toit terrasse du collège Matisse, à l’initiative de cette association, de la principale du collège, et avec le soutien de la Mairie du 20ème. L’association Veni Verdi a pour objectif de créer des jardins en milieu urbain pour agir sur notre environnement, notre société et notre économie. Ce moment convivial passé dans le collège a permis de mettre en lumière un beau projet, qui montre que le 20e est à la pointe des projets d’agriculture urbaine et écologique.
Par Aurélie Sobocinski (CNRS). Reporterre. « Le boom de l'agriculture urbaine »
« Toits cultivés, jardins partagés, friches exploitées… Une déferlante verte aux formats nouveaux gagne aujourd’hui le cœur des villes de l’Hexagone et d’Europe, après avoir déjà conquis l’Amérique du Nord. En Île-de-France, de premiers recensements font ainsi apparaître que la surface totale des jardins associatifs pourrait atteindre celle de la surface de maraîchage professionnel ! Et à Marseille, on compte un millier de petites parcelles où sont cultivés des légumes potagers sur une trentaine d’hectares. Loin des canons agricoles classiques, lové dans les plus petits interstices de parfois quelques mètres carrés, le phénomène intrigue les scientifiques. Que cache cette multiplication d’expérimentations entre béton et bitume ? Effet de mode ou mouvement durable ? »
« Pour essayer de mieux saisir le phénomène, le programme Jassur (Jardins associatifs urbains et villes durables), financé par l’Agence nationale de la recherche, a été lancé en janvier 2013. Car l’agriculture urbaine, dont la définition même varie selon les continents, est un sujet plus complexe qu’il n’y paraît : [...] »
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Source : CNRS
[Image] Les jardins ouvriers et familiaux du Castellas, dans le XVe arrondissement de Marseille, comptent 243 potagers avec leur cabane à outils. ___________________________________________________________________
« Le programme Jassur est porté par un consortium de douze partenaires de la recherche et du monde associatif dans sept agglomérations françaises (Lille, Lyon, Marseille, Nancy, Nantes, Paris et Toulouse). »
« L’un des principaux objectifs du programme Jassur consiste aujourd’hui à quantifier précisément la valeur productive de ces jardins urbains. »
Par Stanislas Kraland. Le HuffPost. « Qui se souvient encore qu'il y a moins de 150 ans, Paris était encore entourée de fermes, d'élevages, bref d'une ceinture agricole qui nourrissait la ville... Ou encore que deux siècles plus tôt, la capitale était parsemée de champs, et même de pâturages où paissaient vaches et cochons ? Plus grand monde. »
« Depuis, l'invention du chemin de fer et du camion frigorifique ont repoussé l'agriculture loin des villes, et parfois même à l'autre bout du monde. Mais l'agriculture dans la ville appartiendrait-elle nécessairement au passé? Pas forcément. Alors que s'ouvre le Salon de l'Agriculture ce samedi 22 février, porte de Versailles, à Paris, les organisateurs de l'événement ont souhaité, élections municipales obligent, mettre à l'honneur ces cultures d'un nouveau genre. »
« Potagers sur les toits, fermes verticales high tech, jardins ouvriers du siècle dernier ou encore bunkers agricoles comme à Londres, derrière les belles promesses de ces projets en apparence enthousiasmants, l'agriculture urbaine recoupe donc des réalités diverse. Alors comment la définir ? »
« "L'agriculture urbaine, c'est l'idée d'une agriculture tournée vers la ville, qui utilise des ressources, des déchets et une main d'oeuvre de la ville", résume Jeanne Pourias, doctorante à l'école AgroParisTech. Mais est-elle pour autant capable de nourrir la ville ou sa vocation se trouve-t-elle ailleurs? Tour d'horizon de ce que peut ou au contraire ne peut pas faire l'agriculture urbaine, exemples à l'appui. »
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Terre TV. « Vous possédez peut-être un jardin sur votre toit ? Vous êtes alors en train de contribuer à rendre votre ville intelligente et plus humaine. A l'heure où l'urbanisation ne cesse de grappiller de nouveaux espaces, il est important de préserver des espaces verts au sein même de la ville. Une cohabitation entre le béton et la nature nécessaire pour Carlos Moreno, pour pouvoir dire d'une ville qu'elle est intelligente. »
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