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La ministre du Travail, de la Santé et des Solidarités Catherine Vautrin
En majorité opposés au projet de loi sur la fin de vie, les élus de droite n’ont pas réussi à peser sur le texte voté en commission spéciale, qui crée une « aide à mourir ». Persuadés de défendre la bonne vision, ils comptent faire « prendre conscience » aux autres députés qu’ils ont raison.
Alors que le projet de loi sur la fin de vie est examiné à l'Assemblée nationale, la Société française d’accompagnement et de soins palliatifs (SFAP), propose des formations aux "derniers secours". Nous avons assisté
Membres du comité consultatif national d’éthique ou présidente d’une structure de soins palliatifs, Annabel Desgrées du Loù, Dominique Quinio et Christine Blanc-Patin résument les principales réserves que suscite pour elles l’actuel projet de loi sur la fin de vie.
Le texte qui prévoit d’autoriser l’euthanasie et le suicide assisté devrait être voté le 11 juin prochain à l’Assemblée. Pour son rapporteur général, les malades seront soulagés de savoir que cette loi existe en «ultime recours».
Sur France Bleu Gard Lozère ce lundi matin, le professeur Thierry Lavabre-Bertrand, président du comité d'éthique de l'hôpital de Nîmes, a émis de sérieuses réserves sur la création d'une "aide à mourir", débattue à partir de ce 27 mai, à l'Assemblée. Entretien.
La fin de vie au cœur des discussions à l'Assemblée nationale ce lundi. Proches de personnes gravement malades ou soignants, ils confient, sur France Bleu ce lundi, leur histoire personnelle et leur regard sur le texte de loi. Entre douleur, colère et questionnements éthiques.
La loi sur la fin de vie est en cours d’examen à l’Assemblée nationale. Mgr Wintzer s’inquiète d’un texte qui, contrairement à l’esprit de la loi, ne protège pas les plus faibles. Il dénonce une logique qui consacre la technologie comme une solution à tous nos problèmes.
FIGAROVOX/TRIBUNE - Le texte sur la fin de vie, examiné depuis lundi à l’Assemblée nationale, est l'expression d'une culture de mort qui se cache derrière la politesse d'un débat législatif, analyse le professeur agrégé des facultés de droit, Guillaume Drago.
Ce lundi 27 mai 2024 les députés ont commencé à débattre du projet de loi sur la fin de vie porté par le Gouvernement. Edouard de Montalembert, médecin généraliste bordelais et membre de l’Alliance Vita qui a manifesté nous explique l’attachement de l’association à la législation actuelle et son opposition à un projet de loi sur la fin de vie en France.
Discours de Tugdual Derville, porte-parole d’Alliance VITA, tenu lors de la manifestation contre l’euthanasie, lundi aux Invalides : Chers amis, A cette heure même 6 autres rassemblements se tiennent dans […]
Paris, France | AFP | lundi 27/05/2024 - Les députés ont entamé avec gravité lundi l'examen du projet de loi sur la fin de vie qui doit ouvrir la possibilité pour certains patients d'une aide à mourir, le gouvernement les encourageant à conserver "l'équilibre" du texte et à légiférer "ave
Ce lundi 27 mai, à l’Assemblée nationale, les députés débattent du nouveau projet sur la loi fin de vie. Au même moment, Alliance Vita a organisé une série de rassemblements en France pour dénoncer la supercherie qui est derrière ce projet. Présenté au nom de la fraternité, il acte la légalisation du suicide assisté et de l’euthanasie derrière l’expression édulcorée d’aide à mourir.
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Dans une tribune lancée par Véronique Fournier et Francis Carrier, cofondateurs du Conseil national autoproclamé de la Vieillesse (CNaV), des personnalités, dont Ariane Mnouchkine et Elisabeth Badinter, s’inquiètent de voir la discussion de fond risquer d’être dénaturée dans les débats parlementaires.
[Document] Membre du Parti communiste, le député des Bouches-du-Rhône s’oppose au projet de loi dépénalisant l’euthanasie et le suicide assisté. Il a pris la pa
L’Assemblée nationale a adopté un amendement concernant la loi sur la fin de vie, mercredi 29 mai. Il prévoit de fixer des objectifs de développement des soins palliatifs, qui peuvent être dispensés à domicile par des équipes mobiles. Reportage.
Les Compagnons du Marais gèrent la résidence Hector Dubois de Bury (Oise) depuis novembre dernier. Dans cette structure, personnes âgées et habitants de la pension de famille partagent leur quotidien.
Président de l’association pour le droit de mourir dans la dignité, Jonathan Denis précise sur quels critères son mouvement considérera équilibrée la loi fin de vie, actuellement en discussion à l’Assemblée nationale.
Alors que le projet de loi sur la fin de vie est actuellement débattu à l’Assemblée nationale, la veillée de prière pour la vie à Paris, qui se tient chaque année, a pris une résonance particulière. Lors de cette soirée, des jeunes ont aussi été invités à témoigner sur les thèmes du handicap
La chaîne parlementaire diffuse ce jeudi 30 mai, à 20 h 35, S’en aller, un documentaire qui suit Jean-Michel, Katherine, Sylvain, Raymonde et Sylvie, tous atteints de maladies graves qui, faute d’une loi qui l’autorise en France, ont décidé de passer la frontière pour avoir le droit d
Cette législation doit avoir « pour objet de développer l’offre en la matière, placée au rang de priorité nationale », et « la volonté de garantir à chacun, selon ses besoins et sur tout le territoire, l’accès aux soins palliatifs », selon l’amendement du député (Les Républicains) Thibault Bazin.
Poursuivant dans l'hémicycle l'examen du projet de loi sur la fin de vie, les députés ont validé, mercredi 29 mai, l'article additionnel introduit en commission visant à instaurer un droit "opposable" aux soins palliatifs. Le gouvernement et les responsables du texte appartenant à la majorité ont tenté, sans succès, de revenir sur cette mesure jugée peu applicable. Le principe d'une loi de programmation pluriannuelle des soins palliatifs a également été adopté.
Examen du projet de loi fin de vie
Avant de se prononcer sur le projet de loi présenté par le gouvernement, qui prévoit d’autoriser « l’aide à mourir », il faut distinguer, chez les opposants, ce qui relève de la foi et ce qui découle de la raison.
Plusieurs centaines de personnes se sont réunies le 27 mai pour dire « non au suicide assisté » alors que l’examen du projet de loi Fin de vie a débuté à l’Assemblée nationale. Des rassemblements ont aussi eu lieu en province.
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