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Si elle apparaît toujours nécessaire, c’est aussi parce que la presse communautaire a, dans son ADN, des fonctions particulières que la presse généraliste n’a pas (encore?) intégrées, notamment de donner une représentation aux LGBT, des moyens d’identification…
En grande difficulté financière, les médias lesbiens, gays, bis et trans’ sont sur la sellette. Et les personnes LGBT ont sûrement plus à perdre de la disparition de leurs espaces d’expression qu’à y gagner.
