Ils font le ménage, plus ou moins à fond, et chacun dans son style. Mais c’est un premier pas. Les partis politiques décriés et mal aimés (à peine 5% d’indice de confiance) redécouvrent les avantages électoraux de la vertu en éliminant les candidats les moins présentables de leurs listes qui ont été déposées lundi 21 janvier à 20 heures. Ou du moins les personnalités dont le contentieux avec la justice est le plus lourd (corruption, abus de biens sociaux ou association mafieuse). Durant la législature qui s’achève et selon un décompte du quotidien de gauche La Repubblica, environ 80 parlementaires avaient été condamnés en première instance ou mis en examen...